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30 septembre 2011

30 septembre 2011

Premier Open data Bar à AEC. Cette rencontre vise à présenter les données libérées aux acteurs locaux qui pourront témoigner de leurs projets et de leurs attentes. Il s’agit de mettre en relation fournisseurs de données, relais (La Fing, l’IJBA, etc.) et ré utilisateurs (start-up, développeurs, chercheurs, etc.).
La CUB présente son portail :
http://www.aecom.org/content/search?SearchText=open+data+bar+%231&ok.x=10&ok.y=6

Pour l’heure, 95% des données libérées (73 couches de données sur 5 thématiques) sont des données géographiques (le premier service à se mobiliser sur l’open data a été celui gérant le Système d’information Géographique de la collectivité). La CUB annonce qu’elle libérera dans l’année des données alphanumériques provenant de divers autres services.

La CUB présente également les outils de visualisation des données (web services) intégrés au portail et annonce, au cours de cet atelier, le lancement de l’API Cub (« brique cartographique mise à disposition du public par La Cub. Il s’agit d’une application web légère, simple d’utilisation et de paramétrage. Elle permet à n’importe quel utilisateur, de l’intégrer dans son site web, et d’y afficher des données statiques ou dynamiques, comme des WebServices WMS, WFS ou des fichiers KML (Google…). »)
Par ailleurs, notons que la CUB a mis en ligne les résultats 3 ateliers de co-conception de services urbains innovants, animés par la Fing, dans le contexte et la dynamique d’ouverture des données en cours. 4 idées de projets en étaient issues : « Monnaie durable », « Crowdcubing », « GPS déroutant », « Au prochain arrêt ». : http://citelabo.reseaufing.org/pg/blog/marinea/read/77564/3e-atelier-cubcitlabo-productions-finales-des-ateliers
La Lyonnaise des eaux (Bruno Ravel) présente également son catalogue de données libérées (13 couches), elles sont intégrées au portail de la CUB. Premier constat, les données libérées sont peu nombreuses et surtout, peu pertinentes pour faire naître des informations neuves (exemples : plan des conduites d’eau usée ; emplacement des stations d’épuration ; observatoire du goût de l’eau ; analyse de la qualité de l’eau ; relevés de pluviométrie. Rien par exemple sur les données tarifaires ou budgétaires (les montants des investissements d’entretien et de maintenance du réseau d’eau). La Lyonnaise, appuyée par la CUB, prétexte que le rapport annuel du délégataire est « disponible au format PDF sur le site web de la collectivité ». Ce mode de mise disposition semble être considéré comme suffisant et satisfaisant.
Les données sur le chlore ne sont pas libérées « à cause de Vigipirate ». Mêmes raisons de sécurité invoquées pour ne pas libérer les données sur les réseaux d’eau.
A l’issue de cet atelier, nous rencontrons Marine Llopart, démographe indépendante à Bordeaux. Elle participera au Datajournalisme Lab sur la dimension « analyse statistique ».